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S’attaquer au voile de glace et de particules qu’un trafic aérien inconsidéré installe quotidiennement entre le soleil et la terre

Etape 1: Accepter de sortir du fallacieux consensus sur le CO2 pour se consacrer à l’eau, principal gaz à effet de serre et produite aussi dans la combustion.
Etape 2: Parler clairement des nuages surnuméraires engendrés quotidiennement par le trafic aérien, voile d’altitude et longs cordons nuageux plus bas.
Etape 3: Rendre obligatoire un récupérateur d’eau sur les avions et/ou diminuer le trafic aérien jusqu’à disparition du voile d’aviocirrus et des aviocordes.
Avantage: Les frais sont automatiquement payés par les pays les plus pollueurs. Bonus: Retrouvant un ciel limpide les abeilles ne sont plus désorientées.

Jacques Fabry

Description détaillée de la Solution

S’attaquer au voile de glace et de particules qu’un trafic aérien inconsidéré installe quotidiennement entre le soleil et la terre

Etape 1: La plus difficile car immatérielle et touchant à l’orgueil humain : reconnaître sans état d’âme l’erreur de stratégie en vigueur, laisser le CO2 aux efforts consentis pour économiser le pétrole et décider de lutter pour le climat en s’occupant de l’eau anthropique libérée à l’altitude de vol des avions.

A la question « Quel est le principal gaz à effet de serre ? », le 31 mai 2013, 08h32, Jean Jouzel, climatologue, vice-président du GIEC, membre du comité de pilotage du débat sur la transition énergétique, invité de France Inter, répond sans hésiter : « Le premier gaz à effet de serre c’est la vapeur d’eau,… ». Et d’ajouter aussitôt : « … mais nous ne modifions pas la quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère par notre action directe, mais le premier gaz à effet de serre dont nous modifions la composition dans l’atmosphère c’est le gaz carbonique. ».

Les conférences sur le climat sont ainsi bâties sur cet étrange axiome : « Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau, donc occupons-nous du gaz carbonique ». Cette stratégie de toute évidence erronée est vouée à l’échec. Il faut le reconnaître humblement, sans regret, et changer de cap.

Trouver un accord contraignant pour réduire les émissions de gaz carbonique issues des hydrocarbures fossiles peut être très utile pour aider à économiser les réserves pétrolières qui inévitablement vont s’épuiser un jour d’où l’Arrêté du 28 novembre 2006 portant obligatoire dans les publicités pour les énergies fossiles ce message « L’énergie est notre avenir, économisons-la ! » (NOR: INDI0609039A).

Mais pour solutionner les dérèglements météo-climatiques en cours il est impératif de s’intéresser à l’autre produit de la combustion du kérosène ou du biocarburant utilisé par les avions : l’eau. Car contrairement à ce qu’affirme Jean Jouzel nous modifions bien la quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère par notre action directe. Et on peut donc y remédier.

Etape 2 : Libérer la parole des météorologistes en leur donnant les moyens de modéliser et l’autorisation de parler ouvertement et clairement des nuages anthropiques engendrés par l’eau rajoutée dans l’atmosphère par la combustion des carburants de l’aviation et bien visibles du sol comme par satellite.

« Le voile d’altitude s’épaissira au fil des heures  mais ne gâchera pas l’impression de beau temps » ou encore « Le voile d’altitude finira par donner une impression de grisaille ».

La combustion incomplète des carburants avioniques produit aussi des particules fines qui dans le froid de l’altitude de vol des avions favorise le gel de l’eau anthropique. Un voile de cirrus se forme, un voile d’aviocirrus bien visible par les satellites, repérable du sol, et au sol par le flou des ombres portées. Ce voile est le toit tangible de la serre qui nous enferme, provoque l’assombrissement global et pour le moment l’augmentation des températures. En se déposant au sol ce voile salit et humidifie les glaces accélérant considérablement leur fonte.

Le 3 octobre 2015, Nice a pris sur la tête « toute l’eau du ciel » c’est-à-dire celle dont Météo France parle augmentée de celle dont elle ne parle pas. Au-dessous des couloirs aériens les plus fréquentés, par décantation et agglomération de l’eau et des poussières produites par le trafic aérien, de très longs nuages apparaissent, les aviocordes, pouvant provoquer d’intenses et surprenantes précipitations de pluie, de grêle ou de neige, et même des tornades.

La formule chimique de la combustion permet tout aussi bien de calculer le bilan eau surajoutée que le bilan carbone par passager d’un voyage en avion.

L’OMM en connaît l’existence mais n’a pas encore osé prendre la décision de reconnaître et nommer officiellement les nuages surnuméraires, aviocirrus et aviocordes (noms provisoires) consécutifs de l’augmentation du trafic aérien.

Il suffit que les instances du trafic aérien (DGAC pour la France) communiquent aux services météo officiels les plans de vol et la consommation prévisible des avions pour améliorer la fiabilité des modèles et des alertes météo et se rendre compte de la dangerosité de ces nuages surnuméraires.

Etape 3: La plus simple, développer la recherche pour mettre au point un récupérateur d’eau sur les avions puis rendre obligatoire son installation sur tous les avions de ligne.

Récupérateur d’eau en trois parties : un capteur pour récupérer l’eau atmosphérique ambiante à l’altitude de vol (existe déjà sur des avions de ligne de la Lufthansa pour des expériences d’analyse de l’air), un système de cloisons mobiles pour stocker l’eau dans les réservoirs au fur et à mesure qu’ils se vident du carburant (à mettre au point), un système de largage de l’eau récupérée avant atterrissage (existe déjà pour le kérosène).

Equiper les avions d’un tel système suppose deux augmentations des frais, une pour l’équipement, l’autre pour voler continument réservoirs pleins. Mais c’est moindre coût que de devoir indemniser toutes les victimes mondiales de l’altération de la lumière et de la désorganisation des cycles de l’eau imputables à ces rejets sauvages d’eau et de particules à l’altitude de vol des avions.

Avantage: Les frais sont automatiquement payés par les pays les plus pollueurs.

Un jour la décision a été prise d’équiper les voiture de pots d’échappement de plus en plus performants, il est temps de légiférer sur la pollution aérienne.

Le trafic automobile a tellement augmenté que les dispositifs antipollution embarqués ne suffisent plus et des mesures de réduction ponctuelle du volume des véhicules en circulation commencent à  se mettre en place. Cette nécessité devra peut-être aussi toucher le trafic aérien jusqu’à disparition du voile d’aviocirrus et des aviocordes.

Bonus: Retrouvant un ciel limpide les abeilles ne sont plus désorientées car là est le secret de la cause globale de leur disparition massive. La luminosité ambiante actuelle est de moins en moins adaptée à l’anatomie visuelle, ocelles et yeux à facettes, de très nombreux insectes dont les abeilles.

Un jour la décision a été prise d’équiper les voiture de pots d’échappement de plus en plus performants, il est temps de légiférer sur la pollution aérienne.

Le trafic automobile a tellement augmenté que les dispositifs antipollution embarqués ne suffisent plus et des mesures de réduction ponctuelle du volume des véhicules en circulations commencent à  se mettre en place. Cette nécessité va bientôt toucher le trafic aérien jusqu’à disparition du voile d’aviocirrus et des aviocordes.

Bonus: Retrouvant un ciel limpide les abeilles ne sont plus désorientées car là est le secret de la cause globale de leur disparition massive. La luminosité ambiante actuelle est de moins en moins adaptée à l’anatomie visuelle, ocelles et yeux à facettes, de très nombreux insectes dont les abeilles.

Jacques Fabry

Date de lancement

Réalisation engagée depuis

02/08/2007: lettre d'alerte à JL BORLOO, ministre de l'Ecologie

Projet en cours avec première expérimentation depuis

01/01/2010: photos quotidiennes des nuages anthropiques

Partenaires de la solution

Depuis 2008, les conseillers des ministères successifs de l'Ecologie et de l'Agriculture, de nombreux députés et sénateurs de toutes couleurs politiques, Météo France, l'ONERC, la DGAC m'ont régulièrement auditionné, comprennent mes arguments, m'encouragent à continuer mais n'ont pas encore trouvé le courage d'agir. Nicolas Hulot, alerté depuis 7 ans, s'obstine à ne pas regarder.
L'Europe et l'OMM attendent un premier pas des autorités françaises. François Hollande connaît le sujet depuis le 11/07/2011.

Points de vigilance pour le déploiement de la Solution

Parler de la pollution aqueuse émise par le trafic aérien mondial suscite des craintes économiques ; mais fermer les yeux sur ce problème (en entretenant l'illusion que lutter contre le CO2 est utile pour le climat) est la garantie de voir s'effondrer bientôt toutes les économies liées à un ensoleillement et à des précipitations normales, et de ne pas pouvoir faire face aux problèmes des réfugiés climatiques.

Chiffres clés illustrant le déploiement et les résultats de cette Solution

Bénéficiaires: toute l'humanité ainsi que toute la faune et la flore directement liées à leur ensoleillement, à leurs précipitations ou aux étendues glacées.
Réductions CO2 attendues: aucune dans un premier temps puisque le gain portera sur la récupération des rejets en eau du trafic aérien ; importantes si le trafic aérien doit être drastiquement réduit pour retrouver un climat viable.

Performances, impacts et résultats

Environnementaux
du 01/01/2010 au 30/11/2015, 2160 jours continus de photos quotidiennes sur 3 lieux attestent de la présence des aviocirrus et des aviocordes lorsque les avions volent et de leur absence quand le trafic aérien est stoppé ou diminué. Prises de vidéos explicatives de la désorientation anatomique des abeilles du départ au retour à la ruche en lumières naturelle, artificielle et anthropique.

Résultats tangibles dès aujourd'hui
Dégradation du climat plus rapide qu'annoncé par le GIEC mais en accord avec mes prévisions

Résultats tangibles à horizons moyen et long terme
Retour au ciel limpide quasi immédiat (hors pollution particules fines) dès diminution des rejets en eau des avions ; le rétablissement des cycles de l'eau peut prendre des années voir des siècles ou des millénaires si le recul des glaciers est trop avancé au moment de la mise en place de la suppression des nuages surnuméraires.

  • Contact professionnel
    Jacques FABRY
    avioclimatologie indépendante
    créateur
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